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Chacun de nous a des activités. Dans le cadre de celles-ci, nous avons des décisions à prendre, des relations à entretenir, à améliorer. La réflexion et le questionnement s’imposent afin d’avoir des décisions et des comportements les plus justes possible.

Nous pouvons mener ce questionnement seul mais la plupart du temps nous savons que nous pouvons compter sur des proches pour nous éclairer. Face à des décisions lourdes de conséquences, nous « consultons », nous allons chercher des conseils. Ces conseils sont le plus souvent donnés avec bienveillance. «Ce que je ferai à ta place, c’est ça car… » et souvent nous ajoutons «je l’ai fait et cela à marcher» ou plus négatif : «Surtout, surtout, ne fais pas cela, ma voisine a essayé et cela ne marche pas !.. »). Avec un peu de chances, nous recevons à cinq minutes d’intervalle, deux conseils totalement opposés et nous voilà écartelé.

La demande de conseil est donc une activité à haut risque sans forcement être une aide.

La posture de coach est d’être en position basse sur le contenu «je ne sais pas ce que tu dois faire, je ne suis pas à a place et/ou  je n’y connais rien» et en position haute sur le cadre « si tu veux, je te propose une démarche, des outils, un questionnement » pour trouver ta propre réponse. Autrement dit « position basse/position haute » cela veut dire sans compétences sur le contenu, ce qui nous vaut coach de coacher toutes personnes, et avec des compétences sur le cadre que nous mettons en œuvre à chaque instant.

Cette posture peut se mettre en place à l’occasion de chaque interaction pour peu que la personne avec qui vous êtes en relation accepte cette posture. C’est normalement le cas de tous les adultes qui cherchent à trouver leurs propres réponses sans trop dépendre des avis de leur entourage. C’est aussi une façon de faire grandir les enfants vers l’adulte et c’est pour cela que le coaching scolaire est d’une grande efficacité.

Au boulot, dans vos associations, en couple, en famille, à chaque instant vous pouvez pour vous-mêmes et pour les autres adopter cette posture de coach ; c’est cela l’intention de la FAC de coaching pour faciliter vos relations et gagner en efficacité.

Pour illustrer cette posture, voici quelques questions pour vous aider à vous inscrire…ou pas.

  • Que gagneriez-vous en faisant LA FAC ?
  • Quel est l’élément le plus attractif, le moins ?
  • Que devriez vous lâcher pour vous inscrire ?
  • Sur quel problème aimeriez-vous travailler ?
  • A long terme quel est votre objectif par rapport au problème qui vous concerne ?
  • Dans quel délai pensez-vous pouvoir l’atteindre ?
  • Par quelles étapes intermédiaires pourriez-vous passer ?
  • De quelles ressources disposez-vous déjà ?

Ces questions sont là pour illustrer la position haute sur le cadre.

Alors, cela vous attire-t-il ? entre 0 et 10, avec quelle intensité ? Prenez 10 secondes sans lire la suite.

Pour vous aider, voici un cadre de réponses qui n’est qu’une aide à la décision.

  • Entre 0 et 4, la FAC, ce n’est probablement pas encore le moment !
  • Entre 5 et 7, que faudrait-il pour que vous passiez au moins à 8 ? envoyez-nous votre réponse si nous pouvons vous aider ?
  • Entre 8 et 10, vous pouvez vous inscrire, c’est ici.

Bonnes études à la FAC … ou pas !

Cathy Lemer